Facebook  
  • Nouvelles
  • Voyages
    • CANADA
      • Île-du-Prince-Édouard
      • Terre-Neuve
    • QUÉBEC
      • Bas-Saint-Laurent
      • Cantons-de-l'Est
      • Cantons-de-l'Est 2
      • Charlevoix
      • Charlevoix 2
      • Laurentides
      • Laurentides 2
      • Outaouais
      • Outaouais 2
    • ÉTATS-UNIS
      • Californie
      • Maine
      • Massachusetts
      • New Hampshire
      • New-York
    • AMÉRIQUE CENTRALE
      • Honduras
    • Îles du monde
      • Guadeloupe
      • SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON
    • EUROPE
      • Pays-Bas
      • République tchèque
  • Immobilier
  • Ville de Mont-Royal
  • ÉDITIONS PASSÉES
Groupe Maurice
Telus Santé
salle bourgie
Abonnez-vous à l'infolettre    Pour recevoir à chaque semaine l’infolettre de Station Mont-Royal, il suffit de s’abonner gratuitement en cliquant ici.   Une idée de sujet à nous soumettre ?   Merci de communiquer avec Station Mont-Royal info@stationmontroyal.com   Conseil de Ville    Le prochain conseil de ville aura lieu le mardi 25 avril à 19h à l'Hôtel de ville, 90 av. Roosevelt.  
  • Bardagi
  • Mécanique 360
  • Hélie
  • Forgues
  • manifeste
  • Pizza 900
  • Léveque
Previous Next

LE PLUS HAUT TAUX DE MORTALITÉ

Détails
COVID-19
Mis à jour : 8 mai 2020
Publication : 2 mai 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Au 6 mai 2020, avec 202 cas confirmés (1,2 % des cas à Montréal), et 996,3 cas par tranche de 100 000 habitants, la Ville de Mont-Royal dépasse désormais de la moyenne montréalaise de cas d’infection [...]

+
powered by social2s

93 CAS CONFIRMÉS À MONT-ROYAL

Détails
COVID-19
Mis à jour : 25 avril 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Avec un bond de 26 cas en moins de quatre jours, Ville Mont-Royal, avec 458,7 cas par tranche de 100 000 habitants, se rapproche rapidement de la moyenne montréalaise de 527,5 cas/100 000 h.

PHOTO ARCHIVES JOURNAL STATION MONT-ROYAL

En date du 25 avril 2020, la Ville de Mont-Royal déplore 93 cas, soit 0,9 % des cas confirmés à Montréal qui regroupe un total de 33 administrations de l’Île de Montréal tous arrondissements et villes liées confondues.

https://santemontreal.qc.ca/population/coronavirus-covid-19/#c36391



Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

93 CAS CONFIRMÉS À MONT-ROYAL

Détails
COVID-19
Mis à jour : 2 mai 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

Avec un bond de 26 cas en moins de quatre jours, Ville Mont-Royal, avec 458,7 cas par tranche de 100 000 habitants, se rapproche rapidement de la moyenne montréalaise de 527,5 cas/100 000 h. [...]

+
powered by social2s

HAUSSE DE CAS À MONT-ROYAL

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

En date de 20 avril 2020, avec 330,4 cas par tranche de 100 000 habitants, soit nettement moins que la moyenne montréalaise (452,50 cas/100 000 h.), la Ville de Mont-Royal demeure parmi les moins touchées des 33 administrations de l’Île de Montréal (arrondissements et villes liées confondues).

PHOTO ARCHIVES JOURNAL STATION MONT-ROYAL

La Ville de Mont-Royal déplore néanmoins 67 cas, une hausse de 12 cas ne 5 jous, soit 0,8 % des cas confirmés à Montréal.

https://santemontreal.qc.ca/population/coronavirus-covid-19/#c36391



Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

HAUSSE DE CAS À MONT-ROYAL

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020
Par Le Journal Station Mont-Royal

En date de 20 avril 2020, avec 330,4 cas par tranche de 100 000 habitants, soit nettement moins que la moyenne montréalaise (452,50 cas/100 000 h.), la Ville de Mont-Royal demeure parmi les moins touchées des 33 administrations de l’Île de Montréal [...]

+
powered by social2s

Coronavirus et grippe espagnole: l’histoire se répète!

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020

Même s’il est confiné comme un milliard de personnes pour stopper la progression de la COVID-19, le démographe Alain Gagnon observe la situation actuelle avec un œil avisé. Depuis 10 ans, il s’intéresse à l’évolution des populations exposées aux épidémies pour tenter de tirer des connaissances sur les meilleures stratégies en santé publique afin de diminuer la mortalité. Il a beaucoup étudié la pandémie de grippe espagnole, notamment. Il accorde à UdeMNouvelles un entretien à distance.

«On avait déjà compris il y a un siècle que le confinement était une méthode efficace de prévention, mais tous ne l’ont pas appliquée» : les recherches du démographe Alain Gagnon portent sur les épidémies dans l’histoire; il observe donc avec intérêt la progression de la COVID-19. «Même si la COVID-19, avec ses milliers de victimes, paraît encore bénigne comparativement aux 50 à 100 millions de morts qu’a faits la grippe de 1918, on constate que l’histoire se répète», souligne le professeur de démographie Alain Gagnon. PHOTOS COURTOISIE UNIVERSITE DE MONTREAL

Quel lien tisse le démographe entre la pandémie de grippe espagnole et celle actuelle du coronavirus?
Même si la COVID-19, avec ses milliers de victimes, paraît encore bénigne comparativement aux 50 à 100 millions de morts qu’a faits la grippe de 1918, on constate que l’histoire se répète. On avait déjà compris il y a un siècle que le confinement était une méthode efficace de prévention, mais tous ne l’ont pas appliquée. Aux États-Unis par exemple, Philadelphie a fait fi des mesures préventives, alors que Saint Louis a demandé aux gens de rester chez eux. La Pennsylvanie a enterré des milliers de victimes de la grippe tandis que les décès ont été limités au Missouri. Au Québec, Victoriaville a maintenu son projet d’accueillir le Congrès eucharistique canadien. La contamination a été si généralisée que l’activité de clôture n’a pas eu lieu; les gens étaient trop malades pour assister aux feux d’artifice.

Il est trop tôt pour dresser un bilan du coronavirus de 2019-2020, car il continue sa progression. Je m’inquiète particulièrement de ses effets en Inde, où l'on a mis tous les trains à l’arrêt ‒ ce qui est, en soi, une bonne idée, mais pas si les personnes se ruent dans les autocars pour quitter les grands centres. De plus, il pourrait y avoir une seconde, voire une troisième vague de contamination mondiale. La grippe espagnole a d’abord frappé faiblement au printemps 1918 avant de faire l’essentiel de ses ravages à l’automne. Une troisième vague a été observée en 1919.

Ce virus peut-il disparaître ou au contraire devenir résistant?
Un virus est un organisme vivant répondant au processus de la sélection naturelle. Le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19, n’est pas très létal, c’est-à-dire qu’environ un pour cent des personnes infectées en meurent. Mais il a mis au point une stratégie d’expansion extrêmement efficace: les gens sont contagieux avant même de ressentir les premiers symptômes. Les hôtes sont des porteurs mobiles qui peuvent traverser la planète avant de présenter des signes de la maladie. Le virus Ebola, beaucoup plus meurtrier, a eu une progression localisée, car les individus atteints étaient alités, souvent incapables de se mouvoir. J’ai bon espoir qu’un vaccin sera mis au point et limitera la propagation de la COVID-19, une arme que nous n’avions pas au début du 20e siècle.

Que pensez-vous de l’approche suédoise, consistant à faire confiance à la population dans l’application des mesures de confinement et de distanciation sociale sans les imposer?
Je trouve cela extrêmement risqué. D’ailleurs, les médecins et experts en santé publique de ce pays critiquent vertement leur gouvernement pour avoir choisi cette orientation. Les évènements récents démontrent que la Suède a fait fausse route. Un calcul simple montre qu’une stratégie consistant à laisser aller la nature sans intervenir aurait pu coûter la vie à 40 000, voire 60 000 personnes au Québec, une population comparable à celle de la Suède. Récemment, il était question dans un point de presse d’une centaine de milliers de décès en Ontario si aucune mesure de confinement n’avait été prise. Bien sûr, le confinement actuel n’est pas tenable à long terme. Mais il est important de tout faire d’abord pour freiner l’épidémie, avant de s’organiser pour savoir quand on pourra remettre le nez dehors et qui pourra sortir en premier. Il faudra alors faire passer des tests pour connaître ceux et celles qui ont été infectés, mais qui ne sont plus contagieux. J’ai idée qu’il s’agira pour beaucoup de jeunes aujourd’hui porteurs du virus mais asymptomatiques.

Vos études en démographie historique démontrent que les personnes exposées à des virus de la grippe durant leur enfance sont plus résistantes quand survient une épidémie causée par un virus similaire. Peut-on appliquer ce phénomène à la réalité actuelle?
Cette hypothèse a pour nom l’empreinte antigénique. Nous avons indiqué dans un article paru en janvier dernier que les adultes qui ont été exposés au virus H1N1 lorsqu’ils étaient enfants, dans les années qui ont suivi la pandémie de grippe espagnole de 1918, possèdent les anticorps pour combattre le virus et se portent donc assez bien lorsqu'ils sont exposés à un nouveau virus de type H1N1. Mais dans une saison dominée par le virus H3N2, ils s’en tirent moins bien, avec des taux de mortalité nettement plus élevés. On pourrait imaginer qu’un phénomène semblable explique pourquoi les enfants et les jeunes adultes sont épargnés dans la pandémie de COVID-19. Selon des études génétiques, le virus qui en est responsable pourrait avoir certaines affinités avec d’autres coronavirus apparus depuis les années 80 et qui causent chaque année des rhumes bénins dans les populations. Exposés tôt dans la vie à ces virus apparentés, les individus de moins de 40 ans auraient un système immunitaire mieux outillé pour faire face au coronavirus à l’origine de la COVID-19.

Vos travaux s’appuient sur des données démographiques et épidémiologiques d’ici et d’ailleurs; sont-elles toujours dignes de foi?
Il faut savoir les interpréter. Par exemple, certains États ne testent que les personnes qui se présentent à l’hôpital avec des symptômes alors que d’autres, comme la Corée du Sud, l’Islande ou le Québec, ont mis beaucoup l’accent sur les tests diagnostiques. Je suis convaincu que la létalité du virus en Italie est surévaluée parce qu’on y sous-estime largement le nombre d’individus infectés. Malgré tout, d’innombrables personnes ont été contaminées dans la plupart des pays et ont transmis le virus sans jamais avoir été désignées comme porteuses. Cela complique l’estimation de la létalité, ou le nombre de décès parmi les personnes infectées.

Par ailleurs, les sondages regroupent trop souvent les personnes dans des «groupes d’âge», alors qu’on aurait avantage à rapporter des âges exacts ou, à la rigueur, à les ramener dans des tranches d’âge de 5 ou 10 ans et, surtout, à éviter les catégories de type «moins de 20 ans» ou «plus de 60 ans». Ma recherche actuelle sur la COVID-19 montre clairement une augmentation de la mortalité exponentielle après 50 ans en Espagne comme en France, avec des différences proportionnelles entre les hommes et les femmes. Avec de grands groupes d’âge, ce phénomène n’est tout simplement pas observable. Il me semble que nous devrions adapter nos lectures démographiques en fonction des besoins de la recherche; sinon, c’est comme si nous prenions un microscope du 17e siècle pour observer les microbes d’aujourd’hui.



Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

Coronavirus et grippe espagnole: l’histoire se répète!

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020

Même s’il est confiné comme un milliard de personnes pour stopper la progression de la COVID-19, le démographe Alain Gagnon observe la situation actuelle avec un œil avisé. Depuis 10 ans, il s’intéresse à l’évolution des populations exposées aux épidémies [...]

+
powered by social2s

La pollution fauche plus de vies que les virus

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020

Communiqué Université de Montréal

La pollution atmosphérique tue 15 000 personnes par an au pays, dont le quart au Québec, selon le plus récent rapport de Santé Canada. Environ 70 % de ces décès sont causés par des dysfonctionnements du système cardiovasculaire. Ce rapport démontre en outre que la pollution atmosphérique coûte 114 milliards de dollars en soins de santé et prestations d’invalidité. L’Organisation mondiale de la santé en a fait le «tueur numéro un» au monde avec une évaluation de sept millions de morts annuellement. Par comparaison, la COVID-19 vient de franchir le cap des 100 000 décès.

La pollution atmosphérique fait plus de victimes que le VIH, l'Ebola, la COVID-19 et toutes les guerres réunies, selon François Reeves, professeur à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal «Depuis qu’on étudie les effets du coronavirus, on remarque que ce sont les endroits les plus pollués qui comptent le plus de décès», résume le Dr François Reeves. PHOTO COURTOISIE UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

En diminuant d’un coup l’usage des combustibles fossiles, la pollution atmosphérique est réduite également; l’air qu’on respire est de meilleure qualité, précise François Reeves, professeur à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal et auteur de Planète cœur: santé cardiaque et environnement. La suspension des activités humaines pourrait ainsi sauver plus de vies que le coronavirus en aura fauchées. «C’est une hypothèse très vraisemblable même s’il faudra du temps avant de la vérifier», dit le chercheur et clinicien qui a développé depuis 20 ans une expertise en cardiologie environnementale. Ses publications l’ont mené à présenter plus de 300 conférences sur le sujet partout dans le monde.

Les principaux responsables de cette hécatombe annuelle sont les particules très fines, le dioxyde d'azote et l'ozone, qui se trouvent dans l’air qu’on respire. Ces éléments sont produits par la combustion des sources d’énergie fossile comme le diésel et l’essence. En plus de causer des problèmes respiratoires, ces polluants sont de plus en plus reconnus comme responsables des problèmes cardiovasculaires, qui diminuent fortement l’espérance de vie. «Quand une personne arrive aux urgences parce qu’elle a subi un arrêt cardiaque ou un accident vasculaire cérébral, le lien avec ce qu’elle a respiré dans sa vie n’est pas évident. C’est pourtant une réalité reconnue par les spécialistes: vous pouvez choisir de ne pas fumer, mais vous ne choisissez pas toujours l’air qui entre dans vos poumons!» explique le cardiologue.

Pollution et contamination Il voit dans la crise du coronavirus une «expérimentation inattendue à l’échelle planétaire, notamment sur les émissions de polluants». Plus il y a d’activité polluante, plus il y a de morts liés à la qualité de l’air. À l’inverse, on note une diminution de la morbidité là où la pollution est en baisse, conséquence du confinement. En outre, une aggravation s’observe là où la pollution est plus élevée lorsqu’un pathogène s’attaque à la santé humaine. «Depuis qu’on étudie les effets du coronavirus, on remarque que ce sont les endroits les plus pollués qui comptent le plus de décès», résume le Dr Reeves. Il illustre son propos par des images satellites du nord de l’Italie, habituellement fort pollué, qui montrent une réduction notable du taux de dioxyde d’azote après le confinement.

La ville de New York, l’une des plus polluées d’Amérique du Nord, subit durement l’effet létal du coronavirus. Or, des chercheurs en santé publique de l’Université Harvard ont calculé qu’à chaque hausse de un microgramme par mètre cube de particules fines dans l’air est associée une augmentation de 15 % de la mortalité liée à la COVID-19 aux États-Unis. Deux possibilités sont évoquées pour expliquer ce phénomène: ou bien les habitants de ces zones ont des poumons affaiblis par la mauvaise qualité de l’air qu’ils respirent à longueur d’année, ou bien un haut taux de pollution favorise la contamination. «Peut-être est-ce une combinaison des deux», poursuit le Dr Reeves.

La Chine, qui a compté plusieurs milliers de victimes dès les premières semaines de l'épidémie, ne fait pas exception. À l’occasion d’une présentation à Beijing en 2013, le médecin a constaté que l’air qu’il respirait dans la rue contenait de 400 à 500 parties par million de particules fines; à Montréal, une alerte au smog est lancée quand ce taux dépasse 50!

Que doivent craindre les Montréalais? Le médecin se limite à dire que les personnes exposées aux contaminants dans l’air ‒ par exemple celles qui vivent à proximité de grands axes routiers ‒ pourraient être plus à risque d’être touchées par la COVID-19.

Espoir
François Reeves avoue être fasciné par l'efficacité du coronavirus. «C’est le prédateur parfait. Même s’il n’est pas aussi mortel que d’autres pathogènes, il a trouvé une méthode de propagation formidablement efficace. Avec une contagiosité planétaire fulgurante, très peu de communautés humaines semblent pouvoir lui échapper.»

Cet amateur d’arbres trouve un point de comparaison avec le frêne, qui lutte contre un envahisseur puissant. «L’humanité est un peu comme les frênes de nos latitudes: ce n’est qu’une question de temps avant que l’agrile les trouve. Avec cette différence que l’arbre ne peut pas pratiquer la distanciation sociale», indique le chercheur en riant.

Celui-ci note que, en forçant la baisse des principales émissions de polluants atmosphériques, la pandémie a permis à de nombreuses personnes non seulement de mieux respirer mais de redécouvrir le ciel. «En Inde, les gens ont redécouvert le sommet de l’Himalaya, qui avait disparu dans le smog. Ailleurs, ce sont les étoiles qui étaient soudainement visibles», relate-t-il.

Le confinement auquel sont contraintes des milliards de personnes peut être un incitatif à modifier nos habitudes de vie. «D’un coup, on a probablement atteint les cibles les plus audacieuses de réduction des gaz à effet de serre (GES) fixées par les conférences internationales sur le climat», mentionne le médecin.

La crise de la COVID-19 pourrait déboucher sur une amélioration significative de notre qualité de vie et une diminution des GES si nous nous tournons vers les énergies vertes. «Il faut saisir cette occasion pour modifier nos habitudes et mettre fin à la surutilisation des énergies fossiles.»



Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

La pollution fauche plus de vies que les virus

Détails
COVID-19
Publication : 21 avril 2020

La pollution atmosphérique tue 15 000 personnes par an au pays, dont le quart au Québec, selon le plus récent rapport de Santé Canada. [...]

Communiqué +
powered by social2s

Signé Toqué à deux pas de chez vous

Détails
COVID-19
Publication : 16 avril 2020
Par René Soudre

PHOTOS JOURNAL STATION MONT-ROYAL

Si tous les restaurants ont interrompu leurs opérations en salle, beaucoup ont vite développé un service de menu à emporter, doublé d’un comptoir d’épicerie fine en ce qui concerne le restaurant Beau Mont, sur l’avenue du même nom, aux confins de Ville Mont-Royal et d’Outremont.

Gastronomie dans la simplicité en temps de pandémie serait le mot d’ordre dans cette entreprise de Christine Lamarche et de Normand Laprise, aussi copropriétaires du bien connu restaurant Toqué ! à Montréal. Produits frais, vins d’importation disponibles, niveau de raffinement des cuisines du Toqué !

Dans ce grand espace aux hauts plafonds et aux vastes salles, toutes les précautions sont prises pour rassurer les clients : incitation à respecter la distance recommandée pendant l’attente devant les grands comptoirs réfrigérés, port de gants des employés, gel antiseptique à l’entrée comme à la sortie. Vous restez un peu craintif ? Vous pouvez demander de déposer vos achats directement à votre voiture dans le stationnement attenant, après avoir placé une commande par courriel ou par téléphone.

Le menu signé Toqué! à emporter est disponible sur place de 13h à 18h du mardi au dimanche ou bien en précommande maximum 24h à l'avance. On peut consulter le site web pour donner un aperçu du menu; on peut aussi appeler pour s’enquérir des autres produits disponibles au restaurant.

Restaurant Beau Mont
950, rue Beaumont, suite 105 (voir carte)
514 270-8882
restaurant-beaumont.com


  • Gâteau au chocolat, gelée de griottes.
  • Soupe de courge Butternut.
  • Escalope de veau à la milanaise et gratin de céleri-rave.
  • Salade de betteraves.
  • Macreuse de bœuf braisé.
  • Foccacia aux pêches de l’Ontario.
Previous Next

Partagez sur
Ajouter un commentaire
powered by social2s

Page 4 sur 5

  • Début
  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • Suivant
  • Fin
mecanique 360 mecanique 360 helie helie manifeste medias Pizza No900
Chez Lévêque
Ville de Mont-Royal journal d'outremont
 
Ville de Mont-Royal journal d'outremont
 

Station Mont-Royal

  • Nouvelles
  • Opinions
  • Immobilier
  • Ville de Mont-Royal
 

Pour nous contacter

T. 514 276-0386
F. 514 273-9660
 
Station Mont-Royal
C.P. 48579, CSP Outremont,
Outremont (QC) H2V 4T3
 
info@stationmontroyal.com
 

Infolettre

Recevez votre journal gratuitement chaque semaine.
Abonnez-vous à l'infolettre!

Station Mont-Royal est un journal hebdo en ligne traitant d'actualités et de cultures pour la communauté de Ville de Mont-Royal.

Une publication papier trimestrielle est distribuée à chaque porte de la Ville de Mont-Royal.

 

Éditeur :René Soudre
Assistante-éditrice : Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Marili Soudre-Lavoie, René Soudre

© Station Mont-Royal 2015-2023

MENU

  • Nouvelles

    Nouvelles

  • Voyages

    Voyages

    • CANADA

      CANADA

      • Île-du-Prince-Édouard

        Île-du-Prince-Édouard

      • Terre-Neuve

        Terre-Neuve

    • QUÉBEC

      QUÉBEC

      • Bas-Saint-Laurent

        Bas-Saint-Laurent

      • Cantons-de-l'Est

        Cantons-de-l'Est

      • Cantons-de-l'Est 2

        Cantons-de-l'Est 2

      • Charlevoix

        Charlevoix

      • Charlevoix 2

        Charlevoix 2

      • Laurentides

        Laurentides

      • Laurentides 2

        Laurentides 2

      • Outaouais

        Outaouais

      • Outaouais 2

        Outaouais 2

    • ÉTATS-UNIS

      ÉTATS-UNIS

      • Californie

        Californie

      • Maine

        Maine

      • Massachusetts

        Massachusetts

      • New Hampshire

        New Hampshire

      • New-York

        New-York

    • AMÉRIQUE CENTRALE

      AMÉRIQUE CENTRALE

      • Honduras

        Honduras

    • Îles du monde

      Îles du monde

      • Guadeloupe

        Guadeloupe

      • SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON

        SAINT-PIERRE-ET-MIQUELON

    • EUROPE

      EUROPE

      • Pays-Bas

        Pays-Bas

      • République tchèque

        République tchèque

  • Immobilier

    Immobilier

  • Ville de Mont-Royal

    Ville de Mont-Royal

  • ÉDITIONS PASSÉES

    ÉDITIONS PASSÉES