Setlakwe invite à la consultation sur les impacts des écrans

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Publication : 21 janvier 2025

D’après communiqué du Bureau de circonscription de la députée de Mont-Royal–Outremont

La députée de Mont-Royal–Outremont invite ses concitoyens à participer à la vaste consultation en ligne qu’a lancée la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes (CSESJ).

« Cette consultation en ligne est une occasion pour entendre les préoccupations, les expériences et les idées des citoyens afin de mieux comprendre leurs besoins et ceux de leur famille », affirme Michelle Setlakwe. PHOTO STATION MONT-ROYAL ARCHIVES

Les membres de la Commission souhaitent recueillir le point de vue du plus grand nombre possible de Québécoises et de Québécois sur les questions qu’elle étudie, dont :
• le temps d’écran chez les jeunes;
• les mesures d’encadrement des écrans, notamment à l’école et sur le Web;
• l’accès aux réseaux sociaux;
• l’utilisation des jeux vidéo;
• la cyberintimidation.

Toute personne âgée de 14 ans ou plus peut participer à cette consultation d’ici le 31 janvier 2025.

Participer à la consultation en ligne

« Les écrans et les technologies numériques font désormais partie intégrante de la vie des jeunes, transformant leurs habitudes, leurs apprentissages et leurs interactions sociales. Toutefois, cette nouvelle réalité s’accompagne de défis importants qui méritent notre attention. Cette consultation en ligne est une occasion pour entendre les préoccupations, les expériences et les idées des citoyens afin de mieux comprendre leurs besoins et ceux de leur famille. »
- Michelle Setlakwe, députée de Mont-Royal–Outremont

La Commission déposera son rapport au plus tard le 30 mai 2025.

Suivre les travaux de la Commission

Un emprunt de 32,2 M$ POUR LE « 30-40 ROOSEVELT »

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Publication : 5 décembre 2024

Par Julie Turgeon

Un emprunt de 32,2 M$ POUR LE « 30-40 ROOSEVELT »

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Publication : 5 décembre 2024

Par Julie Turgeon

La Ville de Mont-Royal a déposé lors de la séance publique du 19 novembre un avis de motion en vue d’adopter un règlement d’emprunt de 32,2 M$ pour la construction du nouveau « 10-20 Roosevelt », qui deviendra éventuellement le « 30-40 Roosevelt ».

Le « 10-20 Roosevelt », où se trouve la caserne de pompier, deviendra éventuellement le « 30-40 Roosevelt ». PHOTO STATION MONT-ROYAL ARCHIVES

Le nouveau bâtiment, qui sera situé au 30-40 avenue Roosevelt, abritera une caserne d’incendie à l’adresse du 30, avenue Roosevelt; et des bureaux administratifs municipaux, comprenant les services de la Sécurité publique, de l’urbanisme et du génie, du côté du 40, avenue Roosevelt.

Un changement de zonage dans le quadrilatère de l’hôtel de ville a d’ailleurs été adopté un peu plus tôt cet automne, pour permettre un tel usage, de bâtiments jumelés.

« Étant donné l’envergure du projet et l’envergure de l’investissement qui aura nécessairement un impact sur les taxes des résidants, j’ai demandé à deux reprises au maire que le projet soit présenté dans sa totalité aux résidants avant que le règlement d’emprunt soit engagé », s’est exprimée la conseillère municipale, Caroline Decaluwe, en début de séance le 19 novembre.

« C’est sûr que le projet a déjà été abordé lors de la présentation de la vision du centre sportif; il y a aussi eu un changement de zonage qui a été présenté à cet effet-là; mais je considère que le projet n’a pas été présenté en bonne et due forme aux résidants et je pense que c’est important de le faire par souci de transparence », a-t-elle ajouté.

Même son de cloche du côté de la conseillère municipale indépendante, Maryam Kamali Nezhad. À ses yeux, ce dossier « n’a pas été expliqué clairement aux citoyens ».

« J’ai voté contre le changement de zonage, en septembre, parce que le projet, tel qu’ils vont le faire, n’a jamais été présenté aux citoyens », a-t-elle dit à Station Mont-Royal. « Le projet initial qui était proposé aux citoyens était un seul bâtiment de trois étages, qui intègre à la fois la caserne et des services municipaux. »

La Ville de Montréal deviendra propriétaire de la caserne
Dans le Programme triennal d’immobilisations (PTI) 2024 de la Ville de Mont-Royal, il est inscrit que du montant de 32,2 M$, qui couvre les coûts de construction du nouveau bâtiment sur Roosevelt, environ 16 M$ seront assumés par le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM).

« Évidemment, il s’agit d’une évaluation mais chaque entité (SIM et VMR) paiera sa part des travaux », a indiqué par courriel le porte-parole de la Ville, Alain Côté.

À la différence de l’édifice du 10-20 Roosevelt, qui est la propriété entière de la Ville de Mont-Royal – et occupé séparément par le SIM et la Ville de Mont-Royal –, « le 30-40 sera composé de deux édifices jumelés et Montréal sera propriétaire de la partie occupée par le SIM », a également expliqué Alain Côté.

D’après les renseignements de la Ville de Mont-Royal, l’édifice de la caserne, comprenant un sous-sol et deux étages, aura une superficie d’environ 7650 pieds carrés par niveau; tandis que le 40, Roosevelt, comprenant un sous-sol et trois étages, aura une superficie d’environ 5900 pieds carrés pour le rez-de-chaussée et 6300 pieds carrés pour les deux autres niveaux.

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Changement de zonage pour le nouveau 10-20 Roosevelt

Malouf sollicitera un second mandat

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Publication : 5 novembre 2024

Par Julie Turgeon

Le maire de Ville Mont-Royal, Peter Malouf, sera de nouveau candidat à la mairie, en novembre 2025.

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À un an des prochaines élections municipales, Peter Malouf a confirmé qu’il briguera un second mandat à la mairie de Ville Mont-Royal. « À 100 %, I’m in! », a-t-il tout simplement affirmé, tout sourire, lorsque Station Mont-Royal l’a interrogé sur sa décision de se représenter, en marge d’une entrevue consacrée au volet résidentiel de Royalmount.

Malouf sollicitera un second mandat

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Publication : 5 novembre 2024

Par Julie Turgeon

NON AUX ENTRÉES DE GARAGE CHAUFFÉES

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Publication : 4 novembre 2024

Par Julie Turgeon

Bien qu’elles soient équipées d’un système de drainage pour empêcher l’écoulement des eaux de surface sur la propriété publique, les entrées de garage et aires pavées chauffées pourraient bientôt être interdites à Ville Mont-Royal.

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Les élus monterois ont donné un avis de motion et déposé un premier projet de règlement lors de la séance du conseil du 22 octobre pour prohiber ces dispositifs chauffants. « Sur l’ensemble du terrain, toute surface imperméable au sol ne peut être chauffée », stipule la nouvelle réglementation, dont l’adoption est prévue à une séance subséquente.

Selon le porte-parole de la Ville, Alain Côté, cette décision fait notamment suite aux récentes inondations. « Ces entrées et autres aires pavées chauffées se drainent dans le système d'égout de la ville, ce qui contribue à le surcharger », a-t-il expliqué.

Les entrées de garage chauffées sont également problématiques lors des travaux de reconstruction de trottoirs, a-t-il ajouté, « puisque ces travaux nécessitent une excavation à l'arrière du trottoir et lors de la présence de câbles chauffants, ceux-ci sont souvent endommagés et difficilement réparables. »

NON AUX ENTRÉES DE GARAGE CHAUFFÉES

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Publication : 4 novembre 2024

Par Julie Turgeon

DES BUREAUX DANS LA MAISON BRISON

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Publication : 1 novembre 2024

Par Julie Turgeon

La Maison Brison, située à l’angle du boulevard Graham et de l’avenue Glengarry, qui serait vraisemblablement la plus vieille demeure de Mont-Royal, construite en 1787, abritera prochainement les bureaux du service du génie de la Ville.

Le restaurant Villa Armando a occupé la Maison Brison de 2004 à 2022. PHOTO STATION MONT-ROYAL ARCHIVES

Le maire de Mont-Royal Peter Malouf en a glissé un mot lors de la dernière séance du conseil du 22 octobre, alors qu’il répondait à un citoyen qui se demandait quelle vocation réservait la Ville à cette maison, qui lui appartient depuis 1970.

Un restaurant a battu pavillon italien de 2004 à 2022 dans la Maison Brison (Villa Armando). Or, « les anciens locataires ne sont plus là », a indiqué le maire, et le bâtiment sera ainsi « converti temporairement » pour accueillir les bureaux du département d’ingénierie de la Ville. Après quoi, on va retourner sur le marché, a-t-il raconté, en mentionnant vouloir trouver des « locataires fiables » pour « avoir un autre restaurant. »

Un déménagement pour édifier le 10-20 Roosevelt
« Le déménagement de l’équipe de la division du Génie devrait se faire au printemps 2025 pour permettre la démolition du petit édifice du 40, Roosevelt », a laissé savoir par courriel le porte-parole de la Ville, Alain Côté.

« C’est sur ce terrain que sera construit le futur édifice du 10-20 Roosevelt, qui abritera la caserne de pompiers ainsi que les bureaux des équipes de la Sécurité publique et de l’Urbanisme », a-t-il ajouté, en précisant que « l’équipe du Génie, qui comprend 17 employés, intégrera elle aussi le nouvel édifice du 10-20 Roosevelt, dès que celui-ci sera reconstruit et fonctionnel. »

« Puisque l’édifice de la Maison Brison est inoccupé pour le moment, cela permet de relocaliser le Génie dans des locaux appartenant à la Ville, sans avoir à débourser pour la location de bureaux à l’externe », a-t-il aussi ajouté.

DES BUREAUX DANS LA MAISON BRISON

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Publication : 1 novembre 2024

Par Julie Turgeon

L’œuvre «ÉCLOSION» reste dans le noir

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Publication : 1 novembre 2024

Par Julie Turgeon

Une oeuvre d’art public, commandée par la Ville de Mont-Royal, il y a cinq ans, ne voit toujours pas le jour.

L’artiste estime que les frais reliés à l’entreposage, l’assurance et l’entretien tournent autour de 4500 $ par année. Sa plus grande déception, selon lui, était surtout : « que les citoyens de Mont-Royal ne puissent pas bénéficier de la présence de l’œuvre. » PHOTO CLAUDE MILLETTE

Station Mont-Royal révélait en mai dernier que la sculpture nommée « Éclosion »devrait sortir de l’ombre. La Ville de Mont-Royal assurait alors être en discussion avec l’Université de Montréal (l’UdeM) pour la suite des choses; soutenant que cette dernière voulait toujours avoir l’oeuvre.

La sculpture de huit mètres de hauteur, de l’artiste de renommée internationale Claude Millette, qui a fait l’objet d’un concours d’art public en 2019, devait être érigée sur le campus MIL de l’Université de Montréal, avenue Beaumont, au printemps 2020.

Or, près de quatre ans et demi plus tard, la sculpture dort toujours dans un atelier en Montérégie. En entrevue avec l’artiste ce printemps, ce dernier estimait que les frais reliés à l’entreposage, l’assurance et l’entretien tournaient autour de 4500 $ par année. Des frais payés par les contribuables, faut-il rappeler. Mais sa plus grande déception, selon lui, était surtout : « que les citoyens de Mont-Royal ne puissent pas bénéficier de la présence de l’œuvre. »

Le sculpteur Claude Millette, qui se sent dans le noir depuis le début de cette collaboration qui n’abouti pas, a relancé la Ville de Mont-Royal en octobre. Selon lui, « il semble que la Ville soit toujours en attente d’un retour de l’Université de Montréal », a-t-il répondu par courriel, sans toutefois cacher sa méfiance.

Victoria Meikel, directrice des relations gouvernementales et institutionnelles de l’UdeM, « c’est peut-être la personne qui aurait un peu plus d'informations quant aux discussions en cours, si discussion il y a… », a-t-il écrit.

« Il ne sera pas possible pour Victoria Meikel d'accorder cette entrevue », a répondu l’attachée de presse, Julie Gazaille, « mais ma collègue Geneviève O'Meara, porte-parole de l'UdeM, pourra le faire la semaine prochaine. »

Quelles sont les embûches rencontrées dans ce dossier sachant que Éclosion dort depuis près de quatre ans et demi dans un atelier, alors qu’elle était supposée être érigée sur le campus MIL, avenue Beaumont, au printemps 2020? Que s'est-il passé?

Est-ce que cette sculpture sera finalement érigée et, si oui, à quel endroit et à quel moment? Voilà autant de questions laissées sans réponse. L’Université de Montréal n’ayant pas donné suite à nos demandes d’entrevue.