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Notre tolérance n’est pas née d’hier

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 octobre 2017
Par Jean Vegman

Comme la tolérance est dans nos gènes, nous ne lui prêtons pas attention. Il nous faut un simple événement ou le repère d’un anniversaire notable pour la remarquer. Fin mai, nous avons célébré les cinquante ans de la bibliothèque en grande pompe [...]

Lettre ouverte +

Notre tolérance n’est pas née d’hier

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 octobre 2017
Par Jean Vegman

Le journal Station Mont-Royal vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Station Mont-Royal se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@stationmontroyal.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Comme la tolérance est dans nos gènes, nous ne lui prêtons pas attention. Il nous faut un simple événement ou le repère d’un anniversaire notable pour la remarquer. Fin mai, nous avons célébré les cinquante ans de la bibliothèque en grande pompe, à la joie de notre population qui a découvert le cadeau que lui a fait le docteur Tarakdjian, médecin et sculpteur, lorsque se déroulait l’exposition de ses bronzes dans la grande salle vitrée.

« Le Lecteur », une oeuvre du docteur Tarakdjian à l’entrée de la bibliothèque.

On ne peut manquer l’oeuvre du docteur Tarakdjian qui se trouve à la droite du parvis de l’immeuble et qu’il a nommée « le Lecteur » en anglais « the Reader », preuve de notre constant et amical bilinguisme. Nous voilà ainsi avec deux statues près de l’entrée de la bibliothèque. L’une féminine d’Anne Kahane, née à Vienne, « Mère et enfant » et le Lecteur dont le créateur naquit en Syrie. À l’intérieur, nous notons les œuvres de Yevkiné de Gréef aussi d’origine arménienne, de Lorraine Schoeb Belcourt et de Peter Monk. Comme les autres arts, la sculpture ne connaît pas de frontières.

Récemment, la bibliothèque a reçu un livre qui a passé quelques temps au rayon des prêts de sept jours : la « Tolérance expliquée à tous » du philosophe et écrivain Roger-Pol Droit, publié aux éditions du Seuil à Paris. Il fait partie d’une série dans laquelle on retrouve nombre d’auteurs qui offrent des « explications » à leurs lecteurs. Ce peut être à leurs enfants, leurs petits-enfants, les adultes, même, comme celui-ci. Les gens qui ont beaucoup étudié et presque tout oublié peuvent ainsi se remémorer des thèmes de leur culture générale. Apprendre et réapprendre n’ont pas d’âge.

Déjà dans un précédent livre « Ma philo perso de A à Z » paru en 2013, Roger-Pol Droit expliquait la naissance de la tolérance à l’âge classique dans le langage d’aujourd’hui. À cette époque, disait-il, la vie était plus cruelle que la nôtre et les guerres de religion étaient à l’origine de l’espionnage chez l’habitant, des persécutions, des meurtres, de la censure. À compter de 1598, en France, la majorité catholique toléra la minorité protestante. En 1610, le roi Henri IV mourut, poignardé par Ravaillac. Henri IV, protestant, était arrivé à la royauté en se convertissant et en affirmant « Paris vaut bien une messe ». En 1685, la révocation de l’Édit de Nantes fit expulser les protestants du royaume. Majoritaires en Angleterre, ils s’unirent pour combattre le papisme.

Roger-Pol Droit nous disait que c’est l’influence de Pierre Bayle, écrivain et philosophe français réfugié aux Pays-Bas et décédé à Rotterdam en 1708, qui a concrétisé l’idée de la tolérance.

Une citation de ce dernier le montre : « Si je demande qu’on me laisse croire ce que je crois, il faut que j’accepte pour ma part de ne pas entraver la liberté de croyance des autres ».

Roger-Pol Droit s’adresse à un interlocuteur anonyme qui peut être un étudiant, un ami ou quelqu’un de sa famille. Il le tutoie. Chaque chapitre est pédagogique et se termine par une page « À retenir » dans laquelle il expose les grandes lignes de ce qu’il a dit précédemment. C’est une manière pratique de faire passer le message qui montre au lecteur qu’il peut découvrir seul ce qu’il veut savoir. Il appuie souvent la nécessité de la tolérance et affirme qu’elle est indispensable pour que nous puissions jouir du monde multiculturel. Nous ne pouvons qu’être d’accord avec lui quand nous pensons au Québec des années 60 et à l’Expo 67 de Montréal qui a sorti la province de la solitude. Elle nous a ouvert les yeux sur le monde, sur d’autres croyances, d’autres cultures, d’autres langues que nous avons eu soif d’apprendre. Un des exemples qu’il donne est la cuisine et la restauration. N’avons-nous pas adopté le café expresso bu au pavillon de l’Italie avec ses affiliés les latté, les moccacino, les cappuccino ?

Avant même le préambule de son livre, l’auteur nous fait lire une pensée de Voltaire tirée du dictionnaire philosophique de 1764 : « la discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède ».

Tout est là.



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Ces faits nous concernent tous

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Nicole Audette

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion de Mme Nicole Audette
reçue le 26 juillet 2015

Il y a longtemps que je veux écrire cette lettre au journal d'Outremont. Car je trouve qu'il y a un homme qui a subi une grave injustice dans ce bel arrondissement.

Pierre Lacerte

Je veux parler de monsieur Pierre Lacerte, avocat de formation et journaliste de profession, un homme qui s'est battu depuis des années, à ses frais, pour faire respecter les lois et règlements que tout citoyen se doit de respecter, sous peine de sanction. Et pourtant, il a payé cher ses dénonciations, même s’il a gagné tous les procès que lui ont fait subir certains dirigeants d’une communauté religieuse.

On est en droit de se demander pourquoi c'est lui qui a dû dénoncer les manquements aux lois et règlements d'Outremont (et d’ailleurs). Ce n'est pas normal, ça! Mais puisqu’Outremont semblait fermer les yeux, c'est Pierre Lacerte qui y a vu puisqu'on « laissait faire ». Il n'était pas payé pour cela, au contraire. Ne serait-ce pas la responsabilité de nos représentants élus de faire ce travail ? C'est comme si monsieur Lacerte, cet homme respectable et intègre, n'avait pas agi, personne ne l'aurait fait...?.

C'est ce que j'ai appris au cours des ans en lisant « Accommodements Outremont », preuves et photos à l'appui.

Ce que je trouve surtout injuste, c'est qu'un citoyen non élu ait eu à faire face à la justice pour des règlements que l’arrondissement où il habite aurait normalement dû faire respecter. Je trouve cela non seulement injuste, mais décevant !



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Un panneau qui dérange

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 10 août 2015
Par Laure Cohen

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion de Mme Laure Cohen
reçue le 30 juillet 2015

« L’aspect extérieur appartient à l’intégrité du quartier». Voilà ce qu’on peut lire dans un cahier spécial du Journal d’Outremont. Le Service de l’aménagement urbain et du patrimoine de l’arrondissement Outremont y va de plusieurs conseils pour nous aider à comprendre les règlements entourant les demandes et les attributions de permis.

Willowdale

Résidente d’Outremont sur la rue Willowdale, je me demande comment la Ville a pu attribuer un permis à la société Cromwell pour ériger un panneau publicitaire dans une rue résidentielle plus que tri-centenaire. Tous les matins, les résidents et locataires de l’immeuble se lèvent avec vue sur une enseigne publicitaire laide à mourir. Les enfants qui passent en Trottibus pour aller à l’école ne verront plus les beaux arbres qui longent leur rue mais ce panneau rouge et noir qui crève le paysage et le cœur.

Renseignements pris auprès du service d’urbanisme, j’apprends que la société Cromwell n’a jamais demandé de permis pour ériger cette horreur. Acceptable? Qu’à cela ne tienne, Cromwell fait appel à la lettre recommandée qui lui aurait été envoyée pour lui demander de retirer ce panneau érigé sans permis.

Et nous voilà donc face à un comité d’urbanisme qui va recommander au Conseil municipal si oui ou non, ce panneau qui défigure la rue Willowdale a sa raison d’être. Est-ce même un dossier qui devrait mobiliser notre comité d’urbanisme? Un permis n’a jamais été demandé par Cromwell ni octroyé par l’arrondissement Outremont. Commençons par faire respecter les règlements.

Le Conseil municipal se réserve tout de même le droit de passer outre la recommandation de son comité d’urbanisme. À suivre donc. Si notre comité d’urbanisme a eu le courage et bon sens de faire une recommandation défavorable, le Conseil municipal suivra-t-il?

Willowdale

J’ai fait de multiples appels à l’arrondissement d’Outremont. Les choses suivent leurs cours me dit-on.

Comme si un panneau contrevenant aux règlements ne suffisait pas, un deuxième a fait son apparition hier!

Où est le respect des citoyens dans l’application des règlements? Je me le demande.



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ASSUMER L’AVENIR

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 27 juillet 2015

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion provenant de membres du Rassemblement pour la sauvegarde du pavillon 1420, boulevard Mont-Royal.

Lorsque l’Université de Montréal (UdeM) a fait l’acquisition en 2003 du 1420, boulevard Mont-Royal, au prix de faveur de 15M$, le recteur Robert Lacroix a déclaré qu’il s’agissait d’une « des plus heureuses acquisitions que l’Université ait jamais faite ». Si le recyclage de cet immeuble avait été réalisé tel que prévu, l’institution aurait profité dès 2008 d’un excellent pavillon, à un coût inférieur à celui d’un édifice neuf, situé dans le campus et à quelques pas de la station de métro Édouard-Montpetit.

1420 mont-royal

Ce qui a tout changé, c’est la décision prise en 2006 par le gouvernement du Québec de développer le CHUM au centre-ville, rendant ainsi disponible la cour de triage d’Outremont pour l’aménagement d’un campus satellite pour l’Université. À l’instar de d’autres universités canadiennes, l’institution aurait pu alors envisager d’autres moyens pour conserver le 1420 dans le domaine public, en le louant par exemple par bail emphytéotique pour en faire des résidences étudiantes. Comme le révèlent des renseignements obtenus grâce à la Loi d’accès à l’information, elle a plutôt opté pour une mise en scène trompeuse concernant les coûts de recyclage de l’immeuble de façon à tirer profit de sa vente au privé.

Aujourd’hui, après une première tentative ratée de vendre le 1420 au Goupe immobilier F. Catania, il n’y a plus aucun profit de vente possible pour l’Université, au contraire. En comptabilisant, après douze ans, le coût d’achat (15M$), les coûts d’aménagement du centre de recherche BRAMS (7M$), ceux des premières mises à niveau (23M$), les coûts de chauffage et d’entretien (5M$) et ceux de la location dans le privé d’espaces qui auraient pu être aménagés dans le 1420 (quelque 20M$), on arrive à la jolie somme de 70 M$. Le Groupe Catania ayant offert 28M$ pour l’achat de l’immeuble, il faut s’attendre à ce que le nouveau preneur, Olivier Leclerc, en offre moins!

Un choix crucial
L’Université est confrontée aujourd’hui à un choix crucial : soit de conserver le 1420 dans le campus actuel, ce qui permettrait de le densifier tout en réduisant graduellement les dettes accumulées dans ce dossier, soit de tenter de nouveau sa chance de vendre l’immeuble pour fins de condos de luxe. Or cette dernière option risque de s’avérer toujours aussi désastreuse pour des raisons précises.

Le 1420 se trouve dans un secteur où il y a peu de commerces et de services de proximité, adjacent au centre sportif de l’Université, donc à une aire de vacarmes et d’éclairages nocturnes et, en plus, sa forme hexagonale avec ses deux cours intérieures se prêtent mal en un recyclage en condos de qualité. Ce que les acheteurs cherchent avant tout c’est du confort : balcons, fenêtres du plancher au plafond, ensoleillement et intimité. Or cet immeuble n’offre pas grand-chose du genre. Comme son enveloppe extérieure ne peut être modifiée pour des raisons patrimoniales, ce n’est que dans les cours intérieures qu’il est possible d’intervenir. Or celles-ci sont très peu ensoleillées et n’offrent guère d’intimité.

Le Groupe F. Catania a tenté de minimiser ces inconvénients en y aménageant des condos transversaux, à savoir avec les pièces d’utilisation commune ouvrant sur l’environnement extérieur et les chambres donnant sur les cours intérieures. Après plus de deux ans de mise en vente, il a obtenu moins de 10% de promesses d’achat pour ses 132 condos. Pour ses 198 condos, le promoteur Olivier Leclerc a prévu un aménagement conventionnel avec accès aux logements par un corridor central. Or il en résulte que quelque 60 condos n’ouvriront que sur les cours intérieures, donc devront être vendus à bas prix à cause de leur confort relatif. Cette approche peut paraître « démocratique » mais, dans les faits, elle n’est guère réaliste. Car, comme le confirmera n’importe lequel sociologue, il y a peu de gens prêts à payer un million et plus pour acquérir un condo de luxe qui apprécieront ce type de cohabitation, sans compter que l’entretien de la chapelle et des lieux communs seront surtout à leur charge.

Pour que le changement de zonage d’institutionnel à résidentiel puisse être maintenu, le Groupe F. Catania avait jusqu’au 2 septembre 2015 pour entreprendre des travaux de construction. Or voici que, pour contourner cette échéance, la direction de l’Université entreprend elle-même des travaux de désamiantage tout en cherchant à établir, d’ici décembre, une entente avec le promoteur Leclerc. Et si, après quelques autres années d’attente, les condos ne se vendent toujours pas, que va-t-elle faire avec l’édifice? Le barricader après avoir investi une autre dizaine de millions pour son désamiantage?

Compte tenu de cette situation, la seule décision logique pour l’Université serait de chercher à louer par bail emphytéotique le 1420 à un OBNL qui s’emploierait à le recycler pour satisfaire des besoins universitaires, par exemple des résidences étudiantes. Une telle option permettrait de conserver cet immeuble dans le domaine public, de répondre à des besoins réels tout en permettant à l’institution d’alléger graduellement sa dette. Dans cette période d’austérité, ce serait le minimum que le gouvernement Couillard devrait exiger immédiatement de la part de la direction de l’Université de Montréal.

Andrea Audet
Micheline Cabana
Éloïse Choquette
Bernard Gauthier
Pierre Joncas
Mariette Major
Jean-Claude Marsan
Madeleine Reid
Daniel Turp
Denyse Vezina

Membres du Rassemblement pour la sauvegarde du pavillon 1420, boulevard Mont-Royal.



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« Améliorons Outremont » veut freiner la dégradation de l’arrondissement

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 26 juillet 2015
Par Nicolas Varnier

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Un citoyen d’Outremont, témoin de la dégradation du mobilier urbain à Outremont, crée un groupe sur la plateforme Facebook. « Améliorons Outremont » espère rallier tous les Outremontais qui font le même constat. Voici la lettre d’opinion de M. Nicolas Varnier reçue le 7 juillet 2015.

angle outremontAngle avenue Rockland et du Manoir, … un manque de finition scandaleux présenté à une population qui paie une fortune en taxes municipales.

Il y a quatre ans, ma conjointe et moi aménagions dans notre maison à Outremont, un cottage typique des années '20 dans l'ilot Willowdale. Nous étions très content de notre achat et de nous installer dans l'arrondissement d'Outremont, un des fleurons de la ville de Montréal, pensions nous. Je dois toutefois avouer que notre enchantement face à l'arrondissement s'est vite étiolé et a plutôt fait place à une profonde déception.

En effet, nous avons rapidement constaté suite à notre arrivée dans le quartier à quel point les installations publiques sont dans un état de délabrement avancé : le mobilier urbain est rouillé et mal entretenu, les trottoirs sont très abîmés, les rues pleines de nids de poules, les parcs sont sales, et j'en passe. Mais je dois avouer que ma patience est arrivée à sa limite lorsque j'ai aperçu il y a environ deux semaines au coin des avenues Rockland et du Manoir le résultats de travaux de pavage et de terrassement d'une qualité on ne peut plus médiocre. En effet, des lampadaires ont été installés dans une pente en béton sans qu'un socle plat ne soit prévu. Résultat : les lampadaires, tout neufs, ont les pieds dans le vide, et les trous dans lesquels ils ont été plantés semblent avoir été faits après coup. Bref, c'est un arrangement qui fait honte à un endroit très fréquenté par les automobilistes. Ceci représente un manque de finition scandaleux présenté à une population qui paie une fortune en taxes municipales.

C'est suite à cette constatation que ma conjointe et moi avons décidé de créer un groupe sur la plateforme Facebook qui vise à regrouper des citoyens militants contre la dégradation des installations publiques de l'arrondissement d'Outremont.bassin st-vateurUne scène pas très jolie prise au bassin du parc St-Viateur. (NDLR) Le groupe s'appelle ''Améliorons Outremont'' et nous souhaitons dans un premier temps regrouper le plus de citoyen sensible à cette cause qui nous concerne tous et documenter les horreurs qui nous entoure afin de créer une sorte de lobby citoyen. Par conséquent, nous invitons tous les gens pour qui leur environnement est important à se joindre à nous.

facebook.com/groups/amelioronsoutremont

Nicolas Varnier
7 juillet 2015





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arbreUn espace normalement réservé pour un arbre maintenant asphalté sur la rue Bernard. (NDLR)
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Célébrer le « vivre ensemble »

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 6 juillet 2015

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Lettre d’opinion de Mme Dashka Coupet
6 juillet 2015

Il y a 6 ans de cela, désolées de la disparition de la fête de la St-Jean sur Bloomfield, ma voisine et moi avons cherché une occasion pour prendre le relai, c'est ainsi qu'est née : la fête des voisins. Pour ceux qui ne la connaissent pas, c’est un événement rassembleur qui offre aux voisins de tout âge l’occasion de se connaître de façon conviviale. Il aide à contrer l’isolement urbain, à tisser des liens et à développer le sentiment d’appartenance à notre arrondissement.

voisinsPHOTO SANDRA ABI-RSHED

Cela fait donc 6 belles années qu’entre voisins nous nous retrouvons annuellement pour célébrer ensemble le « vivre ensemble ». Aujourd’hui, il fait bon vivre sur ma rue; entre voisins nous nous fréquentons, nous interpellons et nous entraidons.

Cette année encore, sous la bannière d’Outremont en famille, pas moins de 7 fêtes ont eu lieu dans différentes rues d’Outremont. Plus de 500 voisins, voisines et amis sans oublier les enfants ont partagé leurs repas, des jeux et des rires.

Je tiens aujourd’hui à remercier, au nom de tous les organisateurs de la fête des voisins, l’arrondissement d’Outremont ainsi que le service de sécurité publique pour leur appui. Je souligne particulièrement le soutien de Christian Dumont et la présence de l’agent Étienne (je suis navrée mais j’ignore son nom de famille) au cours de la journée.

Dashka Coupet
Responsable de la Fête des voisins d'Outremont en famille



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Des autocars de visiteurs japonais?

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 6 juillet 2015

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Lettre d’opinion de M. Éric Lemay
6 juillet 2015

J’ai été offensé en lisant l’introduction de l’article qui apparait sur la page couverture du volume 5, numéro 2. Des autocars de visiteurs japonais? Je ne sais pas ce qui a pu motiver Hélène Côté à utiliser un tel stéréotype démodé mais cette expression est vraiment insultante et raciste.

Laurea Ariel

J’ai vécu quinze ans au Japon et je vous assure que contrairement à ce que Mme Côté et M. Bazinet semblent croire, le quartier offre bien peu de choses qui pourraient attirer des « autocars de visiteurs japonais » alors dormez sans crainte, notre quiétude ne risque rien. Outremont est peut-être un beau quartier résidentiel, mais il ne faudrait pas rêver quant à son véritable potentiel touristique. Ce sont surtout les résidents d’Outremont qui aiment l’animation exceptionnelle (!) des terrasses sur l’avenue Bernard.

Cordialement,
Eric Lemay




Cher M.Lemay,
je suis désolé que vous perceviez une couleur raciste dans l’expression « autocars de visiteurs japonais ». Peut-être un cliché qui aurait besoin d’être rafraîchi, mais raciste certainement pas. Je ne crois pas que « autocar de visiteurs japonais » ternit la riche culture japonaise, et que le propos soit raciste pas plus que « un train de touristes allemands » ou « un avion de voyageurs québécois ». Bien triste le moment où on sera réduit à ne parler que « d’êtres vivants se déplaçant par un moyen de transport », de peur de heurter quelques susceptibilités.

Bien à vous,

René Soudre
éditeur



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Des bacs à usage discutable

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COURRIER DES LECTEURS
Publication : 3 juillet 2015

Le Journal d'Outremont vous encourage à nous communiquer vos lettres d'opinion. La rédaction se réserve le droit d'éditer les textes qui lui sont soumis pour en faciliter la lecture et la compréhension. Ne seront retenus que les textes sur des sujets pertinents, utilisant un langage non-discriminatoire, non-injurieux et écrit dans un français correct. Le Journal d'Outremont se dégage totalement des propos publiés et n'assume aucune responsabilité quant à leur contenu. Vous pouvez nous communiquer votre missive par courriel en y indiquant votre nom et votre adresse, même si le numéro civique de celle-ci ne sera pas publiée. : info@journaloutremont.com. Vous pouvez réagir à un propos en cliquant sur Ajouter un commentaire.

Lettre d’opinion de Mme Anne Richard
3 juillet 2015

Depuis l’arrivée de Marie Cinq-Mars à la mairie d’Outremont, des sommes considérables ont été investies pour élargir les trottoirs et installer un mobilier urbain de béton, aussi hideux que dangereux, dans le but avoué de ralentir la circulation

bac à fleurs

En fait, le bac à fleurs de la photo jointe a plutôt embouti trois voitures et écrasé la mienne, déclarée perte totale, après avoir été percuté par une voiture en 2007. Il a été replacé au même endroit, face au 50 Bates. Ces bacs empêchent le bon nettoyage de la neige et des trottoirs, leurs bandes réfléchissantes ne résistent pas un seul hiver, ce sont des supports à graffitis qui ne sont pas nettoyés par la ville (celui-ci après au moins deux étés), en plus de nous coûter de l’argent pour les plantations de fleurs (l’été) et de sapins (l’hiver) minables et leur arrosage. Les citoyens sans sens civique s’en servent de plus fréquemment comme corbeille. Ces bacs sont très nombreux à Outremont et leur présence, de même que les trottoirs élargis n’ont pas eu d’effet dissuasif perceptible sur la vitesse à mon avis. Le tout nous a certainement coûté une somme rondelette, et loin d’embellir notre arrondissement, ils contribuent à son aspect de plus en plus négligé.

Il me semble que l’argent des contribuables serait mieux dépensé ailleurs, et notamment dans des poubelles à couvercle, afin que nos parcs et rues ne deviennent pas des bars ouverts pour les écureuils, mouettes et autres bestioles qui les vident quotidiennement. Les poubelles à couvercle existent, elles ont fait leurs preuves dans des endroits comme les Plaines d’Abraham, et elles contribuent à la propreté, contrairement aux choix faits sous l’administration Cinq-Mars.

Anne Richard
rue Bates, Outremont



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Station Mont-Royal est un journal hebdo en ligne traitant d'actualités et de cultures pour la communauté de Ville de Mont-Royal.

Une publication papier trimestrielle est distribuée à chaque porte de la Ville de Mont-Royal.

 

Éditeur : René Soudre
Assistante-éditrice :
Hélène Côté
Collaborateurs : Julie Turgeon, Viktor Lavoie, Emmanuelle Beaubien, Carla Geib
Photos et vidéos : Marili Soudre-Lavoie
Administration : Hélène Lavoie
Ventes : Lucie Côté, René Soudre

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